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Et si l’agriculture s’inspirait plus de la nature ? Pour sécuriser notre alimentation de manière durable, s’adapter au changement climatique et contribuer, au final, à son atténuation. Pas moins ! Seule condition : s’appuyer sur les écosystèmes au lieu de les dégrader. Un exercice subtil et sensible… à reproduire pour ouvrir le champ des possibles. En agriculture, mais pas que.

Pionnière du végétal, Priméal est la marque qui a inventé, au sens littéral du terme, c'est-à-dire « découvert », le quinoa. C'était en 1989, et Didier Perréol, son fondateur, ne mesurait probablement pas tout le chemin qu'allait faire cette petite graine et l'ensemble des autres végétaux bio -céréales, légumineuses et légumes- qui allaient suivre, sous le même logo.

Dietaroma propose désormais de l'acérola bio et équitable. Il leur a fallu deux ans de travail pour aboutir à ce beau résultat !

Soy, en anglais, ça veut dire soja. Quel autre nom aurait pu choisir un spécialiste de cette petite légumineuse ronde et jaune ?

La nature nous fait du bien. Se couper d’elle, c’est rudoyer notre santé. Profitons de l'été pour cultiver, tous les sens en éveil et quelque soit son environnement, ce lien parfois ténu, voire rompu, qui nous unit à elle.

La future loi climat prévoit un affichage environnemental qui devra informer les consommateurs sur l’empreinte écologique des produits alimentaires. C'est dans ce cadre que Biocoop soutient le Planet-score, un indicateur prenant en compte les impacts en matière de climat, de biodiversité, et d’impact des pesticides.